. . Autrefois mes ennemis avaient encore quelque épaisseur ; mais maintenant ils deviennent filants. Je suis touché au coude (toute la journée je suis bousculé). C’est eux. Mais ils s’éclipsent aussitôt. . . Depuis trois mois, je subis une défaite continue : ennemis sans visage ; de la racine, de la véritable racine d’ennemis. . . Après tout, ils dominèrent déjà toute mon enfance. Mais… je m’étais imaginé que maintenant je serais plus tranquille.